Les athlètes paralympiques ne sont pas des super-héros mais simplement de grands techniciens de leur discipline, et c’est déjà pas mal !
Les Jeux Paralympiques s’achèvent et le baromètre de diversité du CSA retombe déjà à son taux habituel de 0. Il faudra attendre Paris 2024 pour qu’il affiche de nouveau très légèrement à la hausse. Heureusement que la campagne « WeThe15 » elle, va durer 10 ans.
C’est évidemment une excellente chose que depuis Londres, les Jeux Paralympiques commencent à être un peu plus médiatisés. Il faut dire qu’on part de loin, surtout en France, et que nos politiciens ont longtemps ignoré les délégations paralympiques. Je me souviens notamment des Jeux de Pékin où alors qu’elle a récolté plus de médailles que la délégation olympique, le Président n’est pas venu voir la délégation paralympique, comme le souligne l’athlète Assia El Hannouni.
Dans un monde sans pandémie, j’aurais posté cet article depuis Tokyo. Au lieu de quoi, me voilà à la fenêtre de mon studio lyonnais, une tasse de café bien corsé à la main. Il pleut des cordes et ça me fait penser que mon séjour de 4 mois au Japon est tombé à l’eau. À la place, je viens de signer mon premier contrat en tant que consultante et le client n’est nul autre que l’Agence du Haut Commissariat aux Réfugiés des Nations-Unies.
Alors comme d’hab, je me sens envahie par mes doutes, décidément ils sont vraiment assidus ceux-là, et je me dis que je ne suis pas à la hauteur, pas légitime, pas compétente, etc. Je m’interroge sur la posture à adopter quand on est recruté par une organisation internationale en tant que consultant sur un projet d’envergure mondiale, et si cela veut dire que l’expertise qu’on propose n’existe pas en interne.
Faut-il faire montre d’un aplomb à toute épreuve, trouver des solutions imparables à tous leurs problèmes, avoir toutes les capacités requises pour mener la mission à bien ? Quelle est la meilleure posture à adopter pour qu’ils aient confiance en mes capacités ? Pour me réconforter, j’avale une autre gorgée de café et je réalise que s’ils m’ont choisie, moi, c’est qu’ils sont déjà censés être convaincus de tout cela, et du coup, j’ai du mal à respirer. Je sens la peur me ronger les entrailles… Suis-je prête ?
Dans cet article, j’aimerais démontrer que même si la cécité ne constitue qu’une infime partie de mon identité, elle me permet d’opérer une distillation humaine des plus précieuses. Quand on saute d’un pays à l’autre comme je le fais, c’est plutôt un avantage. J’ai besoin de pouvoir compter sur les gens autant qu’ils peuvent compter sur moi.
Au premier abord, mes propos peuvent sembler contradictoires, puisque j’ai présenté le fait que ma cécité ne soit qu’une parcelle de mon être comme une évidence. Et j’ai affirmé, juste après, que cette infime partie de moi-même joue un rôle déterminant dans mes relations sociales. Tout ça peut avoir l’air contradictoire, alors, je m’explique.
Il y a quelques jours, ma coloc me disait qu’elle avait commencé à tenir un journal de bord sur le confinement, parce que nous vivons une période historique. Alors je me suis demandé si je devais en faire de même, car en réalité, pour moi, le confinement, que par ailleurs je vis à Edimbourg, ne me prive pas plus de libertés que d’habitude. Bizarrement, j’ai même l’impression que le monde entier est soumis aux mêmes limitations que celles avec lesquelles je vis en permanence.
Alors loin de moi l’idée de m’apitoyer, ou de revendiquer des droits que la société semble incapable de me fournir, mais j’ai pensé qu’écrire un peu sur notre capacité de résilience ne ferait pas de mal.
Lorsque les résultats ont été annoncés, mon univers s’est illuminé de paillettes multicolores. Une main sur la poitrine, j’ai lentement expiré l’air que j’avais inhalé dans mes poumons compressés, en relâchant peu à peu la pression accumulée au cours de ces dernières semaines. Je venais de décrocher du premier coup mon ticket pour la profession de mes rêves. Heureusement que j’étais déjà assise, car tout semblait tourner autour de moi. Une sensation indescriptible de libération m’a alors envahie, celle d’avoir couru mon plus beau marathon, d’avoir gagné mon plus difficile match, d’avoir nagé ma plus longue distance, d’avoir repoussé les barrières aussi loin que jamais. J’ai effectué mon plus beau voyage, écrit la plus limpide page de ma vie, atteint les étoiles. Seul un cercle de personnes très restreint sait ce par quoi je suis passée pour y parvenir. Alors pour les remercier, et pour étendre ce flambeau à tous les futurs candidats, avec ou sans la vue, j’ai décidé de vulgariser cette expérience. Continuer la lecture…
Plonger dans les profondeurs de soi-même peut faire peur, car vingt mille lieues sous les mers, les eaux sont troubles et la lumière du jour ne filtre plus. La connaissance intrinsèque de soi conduit pourtant au sentiment de liberté et au bonheur interne. Quand elle est dénuée de toute notion dogmatique, cette connaissance ouvre la porte à un savoir insoupçonné et sans prix. « Je pense donc je suis » disait Descartes, je pense…donc je suis.
Et si je n’étais pas ce que je pense ? Et si j’étais bien plus ? Et si certains ne voulaient pas que je pense autant ?
Dans cette rubrique, je vous ferai découvrir différentes approches pour aborder ce voyage initiatique qu’est la connaissance de soi, et je commencerais donc par « la lecture naturelle », un concept développé par la société Performa et permettant d’aborder cette activité sans déployer aucun effort.
C’est en partant du constat selon lequel « les personnes qui nous veulent réellement du bien ne sont ni celles qui nous font plaisir, ni celles qui énumèrent nos erreurs, mais bien celles qui nous poussent à réfléchir » que la société Performa a été créée. « Plus nous réfléchirons et plus nous serons conscients, plus nous serons conscients de ce que nous sommes et plus nous serons libres, plus nous serons libres de toutes manipulations et plus nous serons heureux. Personne ne pourra alors profiter de notre malheur, ni même nous inculquer des peines montées de toutes pièces » (Memis GUREL, expert en développement personnel et Fondateur de la société Performa).
« Sur ce point, nos meilleurs amis sont les livres. Chaque livre est un nouvel horizon, un nouveau chemin qui mène vers notre véritable identité. Découvrons qui nous sommes et vivons à la hauteur de nous-même ! » C’est sur cette idéologie que Memis GUREL a bâti Performa, le premier centre de formation dédié uniquement au développement personnel. Le premier centre de formation où l’on n’enseigne rien, mais où on explique tout. « Mon travail consiste à faire ce que devrait faire tout système éducatif : aider les autres à comprendre comment il fonctionne ».
Comme l’explique Memis GUREL, « si lire est une tâche laborieuse même pour celui qui aime cela, c’est uniquement parce que le système de lecture appris contredit la nature humaine. Originellement, chaque humain regarde le monde à travers des mouvements oculaires qui lui sont propres. Appliquer une lecture linéaire de gauche à droite contredit donc la volonté du cerveau et le fatigue ».
Dans la formation nommée LA LECTURE NATURELLE, il explique le fonctionnement du cerveau vis-à-vis de ce loisir et la méthode pour cerner son propre mode de lecture en travaillant sur 4 points :
Grâce à cette méthode visant à retrouver une approche primitive de la lecture, l’apprenant possède toutes les connaissances nécessaires pour arriver au but escompté : Retrouver un confort de lecture optimum, une concentration maximisée et une vitesse de lecture dont le plafond ne dépend que de lui. Bien qu’impressionnant, ce résultat est tout simplement naturel.
Performa vous emmène ainsi dans un monde où il est possible de lire de gros pavés comme si c’était une évidence.
À bientôt chez Performa.
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